C'est (presque) l'été !

Ayééé ! Le Pointézie vient de prendre ses quartiers d’été puisqu’il vient de faire sa première sortie de la saison dans le massif du Sancy. Et autant dire que tout le monde attendait cela avec impatience, car entre le temps exceptionnellement clément de l’année dernière et le temps exceptionnellement pourri de cette année la première sortie dans le Sancy s’est fait avec plus de deux mois de retard ! (source)

Le Sancy ? C’est ça !

Au programme, le tour habituel au départ du lac du Servière et les 1300m de D+ qui ont étés faits en 30 bornes auront permis de faire toutes les classiques du coin.

• La descente de l’Ouire jusqu’au Guery, avec sa partie dans les bois où les appuis en virage sont toujours aussi moelleux.
• Le retour sur le Servière depuis le col de l’Ouire toujours fidèle à lui, et donc toujours aussi bon !
• La partie entre le Guery et la D80, avec toujours autant de Racines, de pente, et de figures de styles.

Ajoutez à cela un petit bartassage afin de repérer une trace qui rendra la montée au col de l’Ouire moins roulante. Ainsi qu’une idée de trace à ouvrir histoire de rajouter encore un peu de D+ et de D- à cette ballade de santé.

Une petite pensée pour ceux qui n’étaient pas là...

Un petit mot sur le temps ? Ok ! On peut dire qu’il y avait de quoi faire mentir le titre de ce billet puisqu’avec un ciel couvert et une température n’excédant pas les 8-10° la sortie avait plus des allures printanières qu’estivale. Mais pas de quoi rafraichir les quatre participants puisque les manches courtes étaient de mise. Après tout si on a froid c’est qu’on roule pas assez fort...

Nous eûmes aussi une petite pensée pour la coupe d’Auvergne de DH lorsqu’on vit le puy de la Perdrix bouché par les nuages à peu près au même moment que le début de la première manche. A la couleur (foncé) des nuages, on a pensé qu’il y avait de quoi mettre tout le monde d’accord sur la monte de pneus à adopter.

 Le Stumpy et le Camber dévorant du single

Que les absents se consolent, le Sancy n’a pas changé. Les grimpettes sont toujours aussi grimpante, les descentes s’aprécient de mieux en mieux. En plus cette année, avec toute la flotte qui est tombée, les pâturages sont turbo-vert et remplis de fleurs de montagnes et le Sancy Bike Wash plus en forme que jamais. Une autre chose n’a pas changer, lorsqu’en fin de ballade, on arrive aux voitures, la glycémie dans les chaussettes et qu’on se dit que le Sancy c’est vraiment trop bon.

Bref ! Le Sancy c’est comme un bon vin, ça se bonifie avec le temps