C'est LA MARssss

Enfin un compte rendu de nos dernières péripéties.

Ce weekend était attendu et fut riche en évènements planétaires MTB.
En premier lieu la première WC de DH 2012 avait lieu chez les blancs colonisateurs. Même si la piste est un peu pourrie au milieu (même en enduro la partie pédalante aurait été chiante) ça reste quasiment les mêmes devants. Et ça annonce une saison où on va se gaver de chips derrière l'écran.

Les poils de collés de Lyon en enfin lâché leur petit gaz à propos du weekend qu'on leur avait concocté. à voir ici. Pensez à prendre des cuvettes pour pouvoir supporter la prose diarrhéique et vomitive du semi-imberbe ayant rédigé le bouzin.

De notre coté nous avons repris les SDJ et les deux dernières sorties du samedi ont pris un rythme de bourrage assez intense: pas de photos: on n'a pas eu le temps, vous aurez donc seulement une revue des troupes en présence.

• Zed: on commence par le bourrin le plus léger de l'auvergne du centre. Heureusement qu'il est bridé, ça nous laisse un peu de marge.
• Jako: le bourrin en second et aussi le plus lourd du groupe (mais aussi le plus grand). C'est lui qui annonce les sorties "du moment qu'on bourre, je me fous du reste".  ça commence à être difficile de garder de la marge pour être devant.
• Lolo: Bourrin en chef et aussi le plus moyen du groupe. Toujours con au point de ne pas aimer être une demi-roue derrière le premier du groupe. Du coup quasi toujours à bloc pour essayer de lacher les autres. 
• Pierre: un beau vélo en plastique et il tient le coup sans broncher... Un gamin né sous De Gaulle, mais un gamin quand même.
• Pépé: Conçu sous De Gaulle mais né sous Pompidou. N'a pas le temps de rouler (pour les excuses que vous connaissez tous) mais tient le coup tranquillement. Son nouveau vélo lui va comme un gant, et envoie du paté en descente.
• Plop: en dent de scie: travail nocturne? poussée d'hormones? nous n'en savons pas plus, mais il peut soit tenir le coup et réussir à bourrer soit bacher au bout d'un tiers de sortie.
• Mouf dit "Big Mouf". Il a enfin réussi à retrouver son poids de début janvier: il est donc affuté comme jamais. Il préfere rester à l'arrière du groupe pour ne pas montrer ses forces: une tactique qu'il applique autant en bosses qu'en descente. Malheureusement pour lui, une chute en essayant de dépasser pépé (il voulait lacher les cheuvaux pour une fois pour sentir sa vitesse) risque de retarder sa préparation: il s'est coincé du gras de la cuisse et il va avoir du mal à retrouver sa non-vitesse.

La prochaine promis on s'arrête faire une photo. à bientôt, pour un TARRin de malade suivi de prés par un TARRTARR de folie.